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21 mars 2018

Vif succès du Déjeuner des souscripteurs de PLANETE CSCA Ile-de-France & Ouest

Rendez-vous incontournable du marché entre les courtiers adhérents et les souscripteurs des compagnies, le Déjeuner de l’Ile-de-France ce mercredi 21 mars a, une nouvelle fois, confirmé son attractivité pour les professionnels du secteur, qui ont pu échanger en toute convivialité sur tous les sujets qui animent la profession en ce moment.

La forte affluence au Déjeuner des souscripteurs de PLANETE CSCA Ile-de-France & Ouest (CSCA IDF&O) organisé en partenariat avec Carglass et Verisure, ne se dément pas. Plus de 130 participants ont pu ainsi échanger, ce mercredi 21 mars, dans le prestigieux cadre de l’Aéroclub de Paris, d’abord lors d’un cocktail de bienvenue, puis lors d’un repas dont les tables mêlaient à la fois courtiers, assureurs et partenaires.


Une édition qui marque une nouvelle étape pour la Chambre régionale

Lors de cette édition historique, puisqu’il s’agissait de la dernière de Damien Vieillard-Baron en tant que Président sortant de PLANETE CSCA IDF&O (il cèdera sa place, le 6 avril 2018, à Jérémy Sebag, Président de SPVie), Damien Vieillard-Baron s’est, dans son allocution, déclaré « heureux de passer la main à la nouvelle équipe », et « fier de son bilan » à la tête de PLANETE CSCA IDF&O.

Invité d’honneur, Pierre-Yves Laffargue, Directeur technique souscription IARD d’Axa France, a ensuite dépeint un environnement macro-économique qui, selon lui, semble avoir entamé cette fois une croissance durable ; pour autant, l’année 2017 s’est avérée très dure, dans un environnement concurrentiel dynamique et de taux bas persistants, mais qui devraient selon lui commencer à remonter lentement.

Vers une hausse des tarifs à partir de 2018 ?

Pierre-Yves Laffargue est par ailleurs revenu sur les catastrophes naturelles de l’an passé, estimant que leur survenance tardive expliquait sûrement que les réassureurs n’en aient pas encore répercuté les effets sur leurs tarifs, mais que cela n’était vraisemblablement que partie remise pour les prochains renouvellements. Il a d’ailleurs appelé de ses vœux un retour au « hard market », que le marché n’a plus connu depuis 2004. Selon lui, le contexte économique plus favorable devrait y contribuer, en réorientant les capacités excédentaires vers d’autres secteurs désormais plus porteurs que l’assurance.

Catherine Dufrêne