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26 mars 2018

« DDA : quelles incidences ? » Les réponses en vidéo de Bertrand de Surmont, Président de PLANETE CSCA

Mercredi 21 mars, le Président de la CSCA Bertrand de Surmont était l’invité de l’émission co-produite par AF2A et #ASSURANCETV, portant sur le thème de la Directive sur la Distribution d’Assurance (DDA). A ses côtés pour en débattre, le Directeur Général d’AGEA Grégoire Dupont, la Directrice pédagogique d’AF2A Laurence Huchez et l’avocate Isabelle Monin Lafin.

En préambule, Bertrand de Surmont a rappelé que le cabinet type de courtage en France réalise 250 000 € de commissions par an et compte 4 personnes ; une réalité économique qu’il convient d’avoir à l’esprit lorsqu’on aborde le sujet de l’application pratique de règlementations telles que la DDA, qui nécessite de réels moyens humains et financiers afin de se mettre en conformité.

Le Président de PLANETE CSCA, qui met tout en œuvre pour accompagner au quotidien ses Adhérents dans cette démarche, insiste également sur le fait qu’il est « impératif que les intermédiaires » s’y mettent, non seulement car il s’agit d’un processus long, mais parce qu’il en va aussi de la crédibilité, à l’avenir, sur d’autres dossiers, des organisations professionnelles du secteur qui se sont mobilisées pour obtenir le report de l’entrée en application de la DDA au 1er octobre 2018.

Il rappelle par ailleurs qu’à l’origine, l’objectif de la DDA était de servir l’intérêt du client. Il lance donc, de nouveau, un appel aux autres parties prenantes du marché pour avancer en concertation, afin de trouver une solution de place sur les sujets et documents communs, dans un but notamment de simplification de l’information pour le client final.

Parmi les autres sujets abordés par Bertrand de Surmont lors de cette table ronde, le Président a réaffirmé que PLANETE CSCA serait particulièrement vigilante aux conséquences que cette règlementation (notamment la notion de « marché cible » par exemple) pourrait avoir chez certains porteurs de risques qui, guidés par des logiques purement économiques, pourraient être tentés de sortir de certains marchés jugés peu rentables…  
 
Retrouvez l’intervention de Bertrand de Surmont