Codes courtage

Le webzine de PLANETE CSCA

Accueil > Webzine > L'actualité du courtage > A la une > Aviation : le courtier spécialisé OAAGC entre dans le giron de Willis Towers Watson

20 février 2017

Aviation : le courtier spécialisé OAAGC entre dans le giron de Willis Towers Watson

Détenu à 40% par Gras Savoye, le courtier spécialisé en assurance aviation est entré en négociations exclusives avec le groupe Willis Towers Watson. Une évolution logique, suite à l’acquisition fin 2015 de Gras Savoye par Willis, devenu en janvier 2016 Willis Towers Watson.
 

Une affaire de spécialistes. Dans la lignée de l’acquisition définitive de Gras Savoye en décembre 2015, Willis entend renforcer son département Aviation en acquérant le courtier français spécialisé OAAGC (Office d’Assurances Aériennes G. de Cugnac, fondé en 1898). Les équipes se connaissent bien, et collaborent ensemble depuis longtemps. L’acquisition, qui reste soumise à l’avis des instances représentatives du personnel, porte sur l’équipe d’OAAGC (16 collaborateurs) et son portefeuille clients.

« OAAGC entretient une longue et fructueuse relation avec le groupe Willis Towers Watson depuis près de 40 ans, qui a été renforcée avec l'acquisition de notre partenaire Gras Savoye. L'opération permettrait le développement de l'expertise de nos équipes qui auraient désormais accès aux vastes ressources de Willis Towers Watson qui bénéficierait en retour de notre expertise client. Je suis vraiment très heureux de faire partie de ce rapprochement historique et unique », se réjouit Eric de Cugnac, Président d'OAAGC. Gilles Bénéplanc, Head of France Willis Towers Watson France, se félicite lui aussi de cette intégration. « Je me réjouis de cette opération qui renforcerait notre entreprise Gras Savoye -Willis Towers Watson. L'apport des équipes d'OAAGC, dont l'expertise est particulièrement reconnue dans le domaine de l'assurance aviation, nous permettrait de mieux servir nos clients dans le conseil, l'assurance et la gestion de leurs risques dans le secteur de l'aéronautique », déclare-t-il.

 

Catherine Dufrêne